Première journée :
Chris et Zub sont partis de bonne heure pour tenter une traversée avant la perturbation.
Chaussage au refuge du Lautaret, regel nocturne, pas de soleil mais les sommets encore dégagés.
Des randonneurs partent balader comme un samedi normal.
Après 1 heure d'ascension en direction du Galibier on prend le vent, et il commence à neiger.
Puis nous nous retrouvons dans la purée de pois en longeant la ligne haute tension qu'on ne distingue même plus.
On tente de finir la pente aux couteaux mais les conditions deviennent insupportables et on décide de renoncer après 700m. de dénivelé. Il neige peu mais le vent a déjà formé de petites accumulations.
Retour au Lautaret en suivant nos traces et en recherche permanente d'équilibre à cause d'une visibilité nulle.
De retour dans la vallée nous dissuadons nos compères indécis de venir nous rejoindre pour le moment.
Jean-Louis se charge de prévenir le refuge des Drayères de notre renoncement et on se tient prêts pour un nouvel essai demain aprèm si il y a un créneau pour rejoindre le refuge du Chardonnet.
En attendant, pendant que je bois un bon chocolat chaud devant la cheminée, Chris prépare la tartiflette.
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Conclusion, à ne pas trop écouter la météo on finit quand-même aux fourneaux (mais on n'a pas rien fait !).
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. Le bonheur ne se trouve pas au sommet de la montagne, mais dans la façon de la gravir.(Confucius)
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Chris et Zub sont partis de bonne heure pour tenter une traversée avant la perturbation.
Chaussage au refuge du Lautaret, regel nocturne, pas de soleil mais les sommets encore dégagés.
Des randonneurs partent balader comme un samedi normal.
Après 1 heure d'ascension en direction du Galibier on prend le vent, et il commence à neiger.
Puis nous nous retrouvons dans la purée de pois en longeant la ligne haute tension qu'on ne distingue même plus.
On tente de finir la pente aux couteaux mais les conditions deviennent insupportables et on décide de renoncer après 700m. de dénivelé. Il neige peu mais le vent a déjà formé de petites accumulations.
Retour au Lautaret en suivant nos traces et en recherche permanente d'équilibre à cause d'une visibilité nulle.
De retour dans la vallée nous dissuadons nos compères indécis de venir nous rejoindre pour le moment.
Jean-Louis se charge de prévenir le refuge des Drayères de notre renoncement et on se tient prêts pour un nouvel essai demain aprèm si il y a un créneau pour rejoindre le refuge du Chardonnet.
En attendant, pendant que je bois un bon chocolat chaud devant la cheminée, Chris prépare la tartiflette.
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Conclusion, à ne pas trop écouter la météo on finit quand-même aux fourneaux (mais on n'a pas rien fait !).
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. Le bonheur ne se trouve pas au sommet de la montagne, mais dans la façon de la gravir.(Confucius)
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