11 janvier 2020, 7 h du mat dans l'entrée de la salle polyvalente de Lus, 8 gus-gus achèvent d'ajuster crampons, brioches (heuu ! broches) à glace, et autres matos qu'ils n'utilisent pas quotidiennement.
8 h nous les retrouvons démarrant d'un bon pas depuis l'ancienne station du Jocou, pour aller faire quelque peu les sangliers dans les pentes raides et boisées, mais sans neige, du versant nord plutôt sauvage. On s'accroche un peu aux branches, et enfin on fini par atterrir au fond d'un ravin, les pieds quasi dans le torrent mi eau, mi glace.
Dernières recommandations, on enfile baudards et casques, 3 cordées s'activent, anneaux de bustes
Il doit être 9h30 environ quand Yves attaque dans la première cascade où la glace tente encore de faire concurrence à l'eau qui courre...
L'ambiance est au plaisir de se retrouver dans cet environnement inhabituel et tout simplement beau.
Nous enchaînons, petite dérivation dans les pentes enneigées, ressauts maintenant glacés, mais souvent d'une faible épaisseur, profondeur du canyon en neige, le terrain est varié, puis le canyon devient plus régulier tout en se redressant. la ligne de crête sommitale nous fait maintenant signe, par un joli liserai ensoleillé. Un Gypaète nous laisse à peine le temps de nous exclamer qu'il a déjà disparu vers d'autres versants.
La sortie dans des pentes d'environ 50° est un régale, et le petit casse croute englouti au sommet aussi...
8 h nous les retrouvons démarrant d'un bon pas depuis l'ancienne station du Jocou, pour aller faire quelque peu les sangliers dans les pentes raides et boisées, mais sans neige, du versant nord plutôt sauvage. On s'accroche un peu aux branches, et enfin on fini par atterrir au fond d'un ravin, les pieds quasi dans le torrent mi eau, mi glace.
Dernières recommandations, on enfile baudards et casques, 3 cordées s'activent, anneaux de bustes
Il doit être 9h30 environ quand Yves attaque dans la première cascade où la glace tente encore de faire concurrence à l'eau qui courre...
L'ambiance est au plaisir de se retrouver dans cet environnement inhabituel et tout simplement beau.
Nous enchaînons, petite dérivation dans les pentes enneigées, ressauts maintenant glacés, mais souvent d'une faible épaisseur, profondeur du canyon en neige, le terrain est varié, puis le canyon devient plus régulier tout en se redressant. la ligne de crête sommitale nous fait maintenant signe, par un joli liserai ensoleillé. Un Gypaète nous laisse à peine le temps de nous exclamer qu'il a déjà disparu vers d'autres versants.
La sortie dans des pentes d'environ 50° est un régale, et le petit casse croute englouti au sommet aussi...