Un petit topo de notre aventure de ce dimanche durant laquelle 7 nous partîmes, 7 nous revîmes !.
Après un petit café (qui s'imposait fin du confinement oblige !), nous voilà commençant notre aventure par la traversée du grand Buëch, juste au dessus de la confluence des 2 "dits" Buëch. C'est donc, vous l'avez compris, en chaussures d'eau que nous nous sommes laissés guider par Yves (ça tombe bien il est de métier....guide dit on) vers le départ de l’arrête le long de la rive droite, déjà assez terrain d'aventure.
Changement de chaussures et donc d'activité : les chaussons, chaussés, nous avons débuté l'ascension du Rocher d' Agnielle sur des dalles peux inclinées après la remonté d'un petit pierré. Là , les 3 cordées fonctionnant à merveille (relais, libre, avale ...coinceurs friends, sangle enfin la totale quoi !) nous avons suivi Yves (Ouais !il nous a attendu, ne vous fourvoyez pas dans mes propos) le long de cette arrête sauvage et parfois assez végétale , en évoluant sur sa courbe naturel. Le rocher alternait bonne structure et endroit dit "passe le parpaing à ton voisin !", maxime que je me suis empressé d'appliquer dans la sortie d'une petite vire quasi horizontale ...ouf ! Après ce nettoyage en "bonnet du forme" (comprenne qui pourra ! ) et les dernières longueurs , nous avons pu admirer la vue sur le verrou de Serres et autre Beaumont.
Traversant latéralement (en basquettes et oui ! 3 paires de godasses ! c'est ça le monde d'après !) et après quelques galipettes pour certaines (dont je tairais le nom) nous rejoignîmes (imparfaits du passé simple je crois !) le col de Mirabeau, où, un mini canyon sec nous descendit vers...le Buëch qu'il fallut de nouveau retraversé. Mais là, que du bonheur, vues les 4h durant lesquelles nos pieds avaient macérés dans les chaussons ! Fin de l'aventure sur le parking pour retrouver son matos, et une dernière conso à Aspres pour certains, histoire de terminer en beauté. Voilà tout ! mais ce n'était pas rien , vous en conviendrez je l'espère.
Si je trouve le moyen de mettre des photos, je le ferai volontiers sinon, digne lecteur tu devras me croire sur parole !
Manu, dévoué scribe de cette joyeuse troupe.
Après un petit café (qui s'imposait fin du confinement oblige !), nous voilà commençant notre aventure par la traversée du grand Buëch, juste au dessus de la confluence des 2 "dits" Buëch. C'est donc, vous l'avez compris, en chaussures d'eau que nous nous sommes laissés guider par Yves (ça tombe bien il est de métier....guide dit on) vers le départ de l’arrête le long de la rive droite, déjà assez terrain d'aventure.
Changement de chaussures et donc d'activité : les chaussons, chaussés, nous avons débuté l'ascension du Rocher d' Agnielle sur des dalles peux inclinées après la remonté d'un petit pierré. Là , les 3 cordées fonctionnant à merveille (relais, libre, avale ...coinceurs friends, sangle enfin la totale quoi !) nous avons suivi Yves (Ouais !il nous a attendu, ne vous fourvoyez pas dans mes propos) le long de cette arrête sauvage et parfois assez végétale , en évoluant sur sa courbe naturel. Le rocher alternait bonne structure et endroit dit "passe le parpaing à ton voisin !", maxime que je me suis empressé d'appliquer dans la sortie d'une petite vire quasi horizontale ...ouf ! Après ce nettoyage en "bonnet du forme" (comprenne qui pourra ! ) et les dernières longueurs , nous avons pu admirer la vue sur le verrou de Serres et autre Beaumont.
Traversant latéralement (en basquettes et oui ! 3 paires de godasses ! c'est ça le monde d'après !) et après quelques galipettes pour certaines (dont je tairais le nom) nous rejoignîmes (imparfaits du passé simple je crois !) le col de Mirabeau, où, un mini canyon sec nous descendit vers...le Buëch qu'il fallut de nouveau retraversé. Mais là, que du bonheur, vues les 4h durant lesquelles nos pieds avaient macérés dans les chaussons ! Fin de l'aventure sur le parking pour retrouver son matos, et une dernière conso à Aspres pour certains, histoire de terminer en beauté. Voilà tout ! mais ce n'était pas rien , vous en conviendrez je l'espère.
Si je trouve le moyen de mettre des photos, je le ferai volontiers sinon, digne lecteur tu devras me croire sur parole !
Manu, dévoué scribe de cette joyeuse troupe.