Nous étions 8 ce samedi 17 février : Jen, Brigitte, Pascal, Cécile, Laurent, Nicolas, et moi emmenés par Sylvain pour aller faire un tour dans le vallon de Baume Noire. Nous sommes partis du 1er pylone juste après l’IRAM, skis aux pieds après un petit MEFIAT. Le brouillard nous a accompagnés pendant le premier tiers de notre ascension, mais ensuite grand beau et même très chaud ! Nous avons donc remonté le vallon devant Baume Noire avec pour objectif d’aller voir une grotte sans nom sur la carte située juste un peu à l’est du couloir de Baume Noire permettant d’accéder au plateau de Bure. Sylvain nous a emmenés « d’un pas de sénateur » comme il dit si bien dans cette montée… Et alors là, c’était tranquille jusqu’à ce que l’un de mes skis décide d’aller skier sans moi, lui voulait descendre et moi monter, étrange (avais-je mal clipsé ma fixation ?)… Bref, Jen qui arrivait justement vers moi à ce moment là m’a bien coachée, doucement et patiemment, pour m’aider à remettre mon ski récalcitrant. Nous sommes finalement tous parvenus à cette fameuse grotte. N’oublions pas que le thème de cette journée était : « grottons » (nouveau verbe de la langue française qui signifie : « allons voir des grottes ! »). Puis nous avons entamé la descente, un peu pentue, qui s’est finalement révélée très agréable tant la neige était bonne et tranquille à skier : tout le monde a pris beaucoup de plaisir, et les petits cris poussés en témoignaient. Il y avait beaucoup de monde dans ce vallon ce samedi, des troupeaux de skieurs (un groupe de 17 !) montaient sur le plateau… Descente tranquille dans une neige de printemps au top jusqu’à la voiture. Ensuite, pique-nique puis le débriefing au col du Festre, pépite et rateau.
Une bien belle journée, merci Sylvain pour ta patience et ta bonne humeur qui fait du bien !
Cette journée m’a donné envie de revenir un jour pour faire la montée en crampons jusqu’au plateau de Bure, mais je me posais la question de la descente. En ce qui me concerne : hélitreuillage ? ou attente de la fonte des neiges (ça peut faire long quand même…) ? ou existe-t-il un chemin pour redescendre sans avoir des sueurs froides ?