Salut à tous,
Nous sommes partis randonner J.Fabier, J.Paul, Alexander et moi, malgré un risque marqué de 4/5. Pour plus de sécurité, nous avons opté pour la Tet du Rif de Larre. Montée magnifique dans la forêt d'Aune. Toujours pour ne pas prendre de risques, nous avons suivi un itinéraire qui passait dans la fôrêt, presque jusqu'au col, dont je ne connais pas le nom. Puis, montée à droite sur la crête qui mène jusqu'au sommet. Sauf que la crête était barrée par des rochers que j'ai voulu contourner par la gauche. Et là, j'ai compris le risque de 4/5. La moitiée de la montagne est partie sous mes pieds (je n'exagère pas !). J'ai juste eu le temps de prévenir Alexander de ne pas me suivre, puis de plonger en arrière pour sauver ma peau ! J'ai fini la course en ayant l'impression d'être dans un champ de mines ! En conclusion, cela fait deux fois en deux semaines que je me fais prendre dans une avalanche : la première, pas de chance, mais la deuxième, j'aurais pû l'éviter. Donc, pour mois, plus de ski dans de telles conditions, où que ce soit ! A méditer...
Paco
Nous sommes partis randonner J.Fabier, J.Paul, Alexander et moi, malgré un risque marqué de 4/5. Pour plus de sécurité, nous avons opté pour la Tet du Rif de Larre. Montée magnifique dans la forêt d'Aune. Toujours pour ne pas prendre de risques, nous avons suivi un itinéraire qui passait dans la fôrêt, presque jusqu'au col, dont je ne connais pas le nom. Puis, montée à droite sur la crête qui mène jusqu'au sommet. Sauf que la crête était barrée par des rochers que j'ai voulu contourner par la gauche. Et là, j'ai compris le risque de 4/5. La moitiée de la montagne est partie sous mes pieds (je n'exagère pas !). J'ai juste eu le temps de prévenir Alexander de ne pas me suivre, puis de plonger en arrière pour sauver ma peau ! J'ai fini la course en ayant l'impression d'être dans un champ de mines ! En conclusion, cela fait deux fois en deux semaines que je me fais prendre dans une avalanche : la première, pas de chance, mais la deuxième, j'aurais pû l'éviter. Donc, pour mois, plus de ski dans de telles conditions, où que ce soit ! A méditer...
Paco