Samedi, nous étions en famille à Céuse. J'avais mis mon parapente au cas où dans la voiture. Une fois en haut de la corniche, les conditions m'ont paru bonnes, donc aller-retour à la voiture pour chercher le matos. La corniche était assez bien alimentée, quasiment de face 
Une fois préparé, je me suis quand même dit qu'il ne faudrait pas me faire reculer jusqu'à la falaise 
Mais non, déco sans problème, mais j'ai du me mettre de côté pour un déco "face voile", manoeuvre pas évidente avec les skis au pied ... 
Déco presque sur place, suivi de 15-20' de soaring le long de la pente, en la remontant à 2-3m du sol, que du bonheur
Santant le vent forcir, je me décide à abréger ce moment de plaisir pour partir vers la vallée. Là, surprise, plus j'avance, plus ça monte, et moins j'avance ...
Plus trop possible d'avancer le long du plateau, donc je passe la falaise vers le pas du Loup : vue magnifique !!! Mais ça n'avance toujours pas beaucoup, et je sens que je vais avoir du mal à rejoindre la route Céuse-La Roche (comme d'hab quoi). Au-dessus de Manteyer, je descends tout doucement, sans avancer ....... Je commence à repérer les champs et les routes pour préparer mon plan de retour ... Je repère un champ pensant qu'une fois bas, je vais avancer. Mais non, ça n'avance toujours pas Je change de plan, trop tard et trop bas pour aller vers un grand champ plus en arrière, donc je vise un champ sous moi mais assez petit. Légers virages pour m'aligner, mais d'un coup, gros taux de chutte, et je me retrouve derrière une ligne 
Soit je continue et me pendouille sur la ligne, soit ...... 1" de réflexion, et je freine à fond, l'aile s'arrête et ... décroche 
à quelques mètres sols, je me vrac dans un bosquet de ronces, les skis en vrac, mais sans aucun dégat ... 
J'ai eu de la chance !
Moralité : mieux estimer les possibilités en approche, ne pas miser sur une amélioration des conditions (voir même le contraire) et privilégier les grands champs, même s'ils sont un peu plus loin ...
Juste après le déco, j'ai regretté de m'être décidé au dernier moment et donc de ne pas avoir pu prévenir les copains, mais une fois passé la falaise, au-dessus de Manteyer, sans avancer, les regrets ont disparus !
Une fois préparé, je me suis quand même dit qu'il ne faudrait pas me faire reculer jusqu'à la falaise Mais non, déco sans problème, mais j'ai du me mettre de côté pour un déco "face voile", manoeuvre pas évidente avec les skis au pied ... Déco presque sur place, suivi de 15-20' de soaring le long de la pente, en la remontant à 2-3m du sol, que du bonheur
Santant le vent forcir, je me décide à abréger ce moment de plaisir pour partir vers la vallée. Là, surprise, plus j'avance, plus ça monte, et moins j'avance ...
Plus trop possible d'avancer le long du plateau, donc je passe la falaise vers le pas du Loup : vue magnifique !!! Mais ça n'avance toujours pas beaucoup, et je sens que je vais avoir du mal à rejoindre la route Céuse-La Roche (comme d'hab quoi). Au-dessus de Manteyer, je descends tout doucement, sans avancer ....... Je commence à repérer les champs et les routes pour préparer mon plan de retour ... Je repère un champ pensant qu'une fois bas, je vais avancer. Mais non, ça n'avance toujours pas Je change de plan, trop tard et trop bas pour aller vers un grand champ plus en arrière, donc je vise un champ sous moi mais assez petit. Légers virages pour m'aligner, mais d'un coup, gros taux de chutte, et je me retrouve derrière une ligne Soit je continue et me pendouille sur la ligne, soit ...... 1" de réflexion, et je freine à fond, l'aile s'arrête et ... décroche à quelques mètres sols, je me vrac dans un bosquet de ronces, les skis en vrac, mais sans aucun dégat ... J'ai eu de la chance !Moralité : mieux estimer les possibilités en approche, ne pas miser sur une amélioration des conditions (voir même le contraire) et privilégier les grands champs, même s'ils sont un peu plus loin ...
Juste après le déco, j'ai regretté de m'être décidé au dernier moment et donc de ne pas avoir pu prévenir les copains, mais une fois passé la falaise, au-dessus de Manteyer, sans avancer, les regrets ont disparus !